Avec l’agroécologie, la bio devient logique - Paysage in Marciac

De Triple Performance
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Vidéos - Ver de Terre Production (2021-05-23) - François Coutant - Durée : 40 minutes

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Paysage in Marciac 2020


Comme tous les dimanches, un sort une vidéo de Paysage in Marciac édition 2020

Aujourd’hui François Coutant nous parle de son expérience sur la bio et l'agroécologie.


Bon visionnage !

Annexes

Transcriptions

Transcriptions

bonjour à tous
bon ben je vais me présenter un petit
peu quand même pour que ceux qui ne me
connaissent pas je suis à quatre
kilomètres ici harricourt 5 kilomètres
peut-être même à peine dans une
exploitation de coteau vous m'entendez
bien on l'a toujours dit on fait dans le
bio et le local nous une exploitation de
coteau que j'ai repris en partie de mes

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parents en 86 deux exploitations qui est
en grande difficulté qui faisait que du
mouton et j'ai repris les dettes et les
terres de mes parents ilan des maric de
l'irrigation neuf c'était la grande
époque des lacs collinaires dans le gers
donc on a démarré en conventionnel à
l'époque labour maïs semence tourner
seul semences mais tout ça dans les
coteaux il y avait un précédent prairie
donc ça n'a pas trop mal marché pendant
quatre cinq ans jusque dans les années
90 cinq six ans et là ça commençait
beaucoup d'érosion beaucoup de casse et
les têtes de charrue enfin elana j'ai
adhéré à gros doc le ceta à bouloc où on
avait suivi d'ingénieurs de en 93 on
avait monté une cuma 89
parce que je le dis pas c'est très
important quand même par rapport la
suite et au départ on a démarré
j'ai arrêté le labour et le travail
normal en 94 là c'était parce qu'au bon
c'était pas aussi trop d'érosion les
rendements qui chutaient énormément et
l'année passée au semis direct en
conventionnel
à l'époque en conventionnel où on
démarre et beau classiquement en france
avec les groupes horsch elle essaime
exact à dehors c'était les réunions
noguchi après on a fait toute la
panoplie des couverts et des semis noir
semi direct bon là on a patiné longtemps
et que les couverts jusque dans les
années 2002 2001 2002 qu'on ait trouvé
les féveroles et là c'était une grande
plus c'est un couteau avant désherber
les couverts après un peu plus mais
c'était parce que 38% d'argile que des
coteaux avec 32go son argile
au printemps c'est quand même compliqué
et voilà et alors après la féverole bon
c'est un grand coup de pouce sont alors
on faisait en a mis au point ces semis
direct sous couvert vivent ça ça
marchait plutôt bien même très bien
parce que j'étais tombé à la faim en
camp avant de passer en bio à ce qui m'a
poussé à passer en bio d'ailleurs
j'étais tombé à 98 unités d'azoté pour
faire du maïs et quelquefois sans
glyphosate quand on avait des très beaux
couvert on faisait 7 8 tonnes de matière
sèche donc sa porte est quand même c'est
pas rien quoi 350 unités d'azoté 30%
disponibles dans les trois premiers mois
pour le maïs c'était un sacré booster ça
a été vraiment un peu révolutionnaire
pour semer du maïs eux partout où on est
c'est à partir de là qu'on a eu des
champs dans les coteaux régulier tout
champ de la même couleur savent en avant
on connaissait pas ça voilà et alors on
s'est dit bon après ça devenait monotone
semis direct sous couverture lahlimi au
point ça marche bien il y en a dans la
salle acquis
qui était avec nous la fait qu ils nous
connaissaient on travaille ensemble dans
le même groupe 2 c'est à dire on allait
dans le même sens et alors du coup on a
dit pourquoi ne pas le faire en bio
surtout quand je voyais le bio comme on
le faisait dans le gers comme on le fait
encore aujourd'hui dans le gers
pour moi c'est une une catastrophe
écologique
travailler outrance et l'érosion à
outrance c'est bien ça marche mais ça
durera pas longtemps
c'est pas durable quoi ça traverse
rapahël et les siècles essence je veux
bien que ça marche pendant 20 ans mais
est encore jugé il ya vingt ans que
m'ont entendu dire que le gers n'avait
pas pour 40 ans dans 40 ans il ce
requiem tu vois on va même pas y arriver
au bout de 40 ans n'ont ni sera pas et
les rendements sont chute libre
aujourd'hui c'est il fallait comme m
quand on implante minimum 40 à 50 ans
entraînée dans le gers
si on voulait maintenir les tenir nos
structures et pas d'autres façons
aujourd'hui il ya plus en plus d'animaux
et on continue on est donc enfin et sur
une zone où on perd li chn
on va encore cultivé plus les coteaux
c'est quelque part c'est faux pas à dire
c'est la faute des agriculteurs c'est la
faute
quelque part d orientation agricole on a
depuis le début la pac on a donné 90 à
100 euros à un éleveur pour 1 ha d'herbe
on a donné 300 euros 1 s'est ralliée
c'est pas pour opposer les systèmes et
c'est pour donner les orientations on
aurait fait le rôle inverse dans le gers
aujourd'hui aurait des voitures et des
moutons et on n'aurait pas d'érosion et
on aurait gardé notre matière organique
parce qu'on est quand même passé de 3 à
1
en vingt ans et voilà donc et moi
aujourd'hui en cas en 2002 il faut
avancer on a va au bhoutan en 2015 on
n'est pas 100 bio en avant groupe après
même pour le semis direct on a une cuma
est sonné cinq ou six à faire un peu la
même chose
et alors c'était plus facile parce que
le matériel on l'achetait en cuma donc
c'était possible parce qu'à l'époque au
départ - on avait des petites structures
on avait tous 40 à 50 hectares en 90 mhz
aujourd'hui on a une centaine d'hectares
chacun mais est on avait tous un peu de
hors sol devenus des ateliers hors sol
du poulet des cailles du canard en une
femme noire en complémentarité de nos
coteaux quelque part il mangeait début
j'ai une particularité c'est que j'ai
des brebis j'ai 300 brebis boj ça va ça
monte ça décembre suivant les périodes
suivant les opportunités
j'ai un frère qui a toujours eu des
brebis et parce que bon il ya des zones
inaccessibles pour les cultures et
aujourd'hui oui eh bien il ya 128 ha
quatre bâtiments de poulets bio 300
brebis avec un potentiel on vient de le
de l'étudier là et encore que sur mon
exploitation il faudrait 700 brebis pour
manger les ce que les couverts les mots
c'est ce que je pourrais avoir le bon
après faut s'en occuper quand même il
faut ça fait beaucoup de choses mais
l'optimum il serait là quoi il faut
arriver à ce que je suis en train
d'étudier la avoir 700 brebis et avec
les gens qui vont derrière quelque part
et c'est pas moi qui vais le faire mais
si je veux que mon exploitation dure
dans le temps parce qu'il ya beaucoup
d'exploitations l'avons pas durer dans
le temps toutes les exploitations dans
le cou de couto là c'est ma génération
là on est 80 % sur leur grand potentiel
de mon âge
moi j'ai de 59 ans et ça donne une idée
de toutes les exploitations de côte au
seuil et il y en a à bandol un bien
personne pour les acheter la safer les a
repris l a pas trouvé les vendre mais
les agriculteurs les reprenne ses
nouveaux comme ça vient de sortir
mais il faut faire naître contient quand
même
et donc oui par rapport à cette
occupation nous a permis de faire
beaucoup de choses plus facilement parce
qu'elle nous coûte beaucoup moins cher à
l'hectare
moi j'ai pas de tracteur moi j'ai pas de
matériel
tout le matériel qu'humain et ça nous a
permis de baisser les charges de
structure du matériel par trois on est
en été longtemps à 150 euros contre
bourg où ils sont à 450 500 voire 600
hectares mois sont comprises est alors
oui le bio c'est ce qu'on est en train
de ces mots dernier challenge après je
prends en tête mettre au point ou voir
où est ce qui va être l' équilibre du
semis direct en bio avec de l'élevage ou
pas enfin voilà oui jusqu'où on peut
aller qu'est ce qu'on peut mettre en
place et et voilà c'est ce que vous
voyez là bas c'est ce qu'on en place
depuis depuis cinq ans parce qu'on à
retravailler le sol au début du bio sur
5 cm pour justement pour le problème de
l'herbe et parce que moi je vis de
l'agriculture monique son épouse
allaient sur l'exploitation si on n'a
pas de revenus extérieurs l'agriculture
des fois j'ai entendu oui mais lui vit
pas de l'agriculture
c'est pas les conférences que je fais
avec alain la rémunération kôji qui me
fait vivre et non mais c'est pour dire
et je vis bien
aujourd'hui je travaille il faut pas non
plus dire que je travaille pas je
travaille je gagne bien ma vie mais je
travaille beaucoup sur ce savoir que je
suis passionné donc c'est moins dur
quand on est passionné mais mais il y
avait encore beaucoup de possibilités
pour augmenter leurs revenus sur une
exploitation comme la les brebis frais
fonds après j'ai peint en a pas et soit
qu'ils aient contexte de la vie qui ont
fait que j'ai perdu mon fils qui était
juste installé et du coup pas son
objectif restait 300 brebis et sainte
hectares de cultures et avant le direct
parce que la vente directe on a mangé
mon beau mon gendre qui a repris un peu
mais bon lui non plus fourni parle parce
qu'il a une autre structure de
transformation est alors bon ça c'est
des choses qu'il faut faire il faut
faire l'élevage mais il faut aussi faire
l'aventuré qui est de la demande de la
demande la demande
on n'y répond pas c'est un peu dommage
il y avait il ya eu plein de choses
comme ça afin prend tout cas on entend
bien que tu gagnes ta vie quand on dit
bien que tu en entends bien que tu
gagnes ta vie non c'est important de le
dire parce que hier ça a donné lieu à un
débat cap aït a failli partir en vrille
parce que c'est toujours la faute de
l'autre
et toi tu as mis de l'ordre chez toi
pour gagner ta vie correctement
et puis viennent dire que par ces
pratiques par ces techniques et notre ne
serait-ce que celle de la mutualisation
du matériel
vous aviez diminuer les coûts par trois
oui mais ça c'est extrêmement important
parce que hier le débat et partez c'est
toujours la faute de l'autre qu'ils
soient gros petit nom
le résultat il doit être fait sur la
ferme la valeur ajoutée c'est là qu'elle
se trouve c'est pas pour ça qu'il faut
pas dire le dialogué avec les autres
mais les indicateurs de résultats
ils servent aussi et surtout à ça vas-y
rentrer rentrer dans le détail
maintenant dans la demi heure qui nous
reste à peu près des pratiques qu'elles
sont c'est pratiqué lequel selon
laquelle quelle est la singularité de
cette pratique dont on doit parler
aujourd'hui tente la bio et tu l'as dit
vous l'avez bien entendu mais je le dis
aussi pour nos amis nos amis youtuber tu
l'as bien de cette agriculture bio là
elle est absolument pas durable c'est la
fuite en avant celle des sols nus celle
du travail du sol ces deux vies celle
des coteaux c'est drôle malheureusement
vous êtes peu à le dire on nous sommes
peu à le dire et c'est ça va être une
crise phénoménal c'est à dire la
pyramide des âges plus les sols user
qu'eux car plus personne ne voudra parce
que de toute façon il n'y pousse plus
rien sur les eaux des coteaux il suffit
de regarder les têtes de tournesol elles
sont grosses comme des comme des
châtaignes en quelque sorte et c'est pas
ce que je veux dire c'est que c'est pas
une mauvaise année parce qu'on pourrait
dire c'est une mauvaise année il a fait
chaud il a fait non toutes les années
sont mauvaises quand il n'ya plus de sol
toutes les années sont mauvaises et de
plus en plus et je crois que tu es bien
placé pour le savoir et vous êtes rares
à le mettre en perspective c'est
important c'est pas dire celui-là pas
bien fait c'est juste une alerte
extrêmement importante
sans ces tags re écologie puisque ça
s'appelle comme ça cette couverture des
sols on ne s'en sortira pas qu'ils
puisaient dans les coteaux oui mais
c'est plus compliqué enfin par rapport à
ce problème de l'herbe mais il ya des
possibilités après il faut aussi qu'il
ya des volontés quelque part politique
et même
deux chercheurs qui s'orientent parce
que quand vous voyez les photos volant
on a fait des essais cette année enfin
on commence à faire des essais ya quand
même 25 ha tu commences à faire des
bruits secs et l'impressionner dernière
je l'avais fait sur des petites surfaces
et honteux on voit des choses cette
année même par la dernière qu'on ne
comprend pas qu'on ne sait pas analysé
m'enfin guen ça c'est une grande chose
et sinon oui alors donc sur des
parcelles on a fait ça au strip till
c'était un travail 25 cm sur 80 pour
arriver à désherber
quelque part c'est 25 centimètres et que
la culture démarre plus vite parce que
quelque part c'est toujours une
concurrence entre la culture et l'herbe
en bio et donc il faut qu'il ya quand
même qu'on ne faut pas perdre de vue
qu'il nous faut un démarrage rapide et
jusqu'où on pourra aller je sais pas
parce que même certains j'ai fait
plusieurs essais j'ai fait des essais
dans du découverte de ré grand pas ce
que c'était et couverts spontanée enfin
le plus dur il y avait triticale pois
féveroles ray grass et voilà et parce
que l'heure est grave y poussent
naturellement mais c'est pas forcément
une mauvaise chose parce que tant qu'il
aurait grand et lui fait son cycle
jusqu'au mois de mai juin après la
finition cycle après il reste toujours
tout petit là il veut sortir lépi mais
c'est pas lui qui nous gêne mais ils
empêchent les autres plantes de lever 5
l heure est grave et rien d'autre mais
ça c'est un plus et ça nous permet après
il ya il faut pas quand même perdre de
vue que ça c'est une solution parce que
j'arrose moi je veut pas encore dire
celui qui n'a pas d'irrigation garder un
couvert de mais après il ya d'autres
plantes parce que après j'ai un autre
champ où on a fait on a vingt couverts
de seigle baisse et là c'est beaucoup
plus simple c'est beaucoup plus si c'est
quand même plus simple parce que je
pense ça pompe beaucoup moins d'eau
parce que quand ils arrivent à maturité
lors la couche et on l'a écrasée
et il n'y a pas beaucoup d'autres choses
qui poussent et puis ça couvre quand
même relativement bien le sol polonais
passer deux ou trois fois avec ce fameux
rolen sème là que vous voyez défiler par
moments il ya toujours le paillage même
dessus ça nous arrive à nous détruire
les plantes en gardant le paillage et ça
c'est bien
c'est même très bien c'est des
évolutions que mais pour l'instant sur
la ligne feillens change un champ où
j'ai passé juste le strip till sans
retravaille du tout sur la ligne alors
la surface allait rester un maudit c'est
un disque oblique qui nous soulève un
peu de terre justement les ventes même
pas les 25 mai le script qui lui fait
que soulever ils à redessan et on a un
disque derrière de chaque côté qui nous
qui nous fini de décoller la terre quoi
mais sans même leur tournée de
réchauffer la terre sur le sillon et
quand même d'arriver à faire crever ces
termes là qu'est au pied du sa découpe
un peu en biais de sous et après il ya
les deux autres disques derrière qui
nous le le kit souvent le pass deux fois
même pour bien des mounir l'a7 cette
bande là pour que la culture démarre
vite et qu'on n'ait pas de concurrence
d'herbe au départ même après on peut
passer là où on peut passer sur le rang
par contre nous serions curieux que tu
nous décrivent avec précision cette
image cet initié cet itinéraire du quand
est ce que quand est-ce que ce soja et
se met dans quelles conditions
et qu'est-ce qui se passe à ce stade là
parce que je pense peut-être je dis une
bêtise mais je pense qu'elle résume à
peu près à peu près bien l'ensemble des
pratiques sur une culture à un moment
donné qu'est ce qui se passe quand est
ce qu'on sème dans quelles conditions et
où est-ce qu'on en est à ce moment là si
tu veux bien oui mais là dessus une
barre celle on avait su on a passé deux
fois le strip till la deuxième fois
assez rapidement donc ça nous exploser
alors dans le sens désolé mais avant
même de passer déjà de repréciser le
style même sur un petit peu vu avant
même de dire je passe deux fois le strip
till dans quelles conditions sûres
quel type de sol et avec quelles plantes
installées s'il te plaît pour que on
voit bien l'origine l'origine du smi oui
parce que la machine là qu'on voit qui
bint el gobba enfin si bing mais je
l'avais passé je l'oublié avance sur mon
cou vers pages à vancouver qui étaient
là où il y avait tout ce mélange là donc
on est passé par deux fois aller retour
la machine en premier on est d'accord
que avant de semer du soja il ya un
couvert d'automne qui fait c'est
vraiment ça dont on veut parler on
t'écoute
à chaque fois il y avait un couvert
d'automne soit soit seigle baisse par
endroits mais beaucoup c'était triticale
pois féveroles et d attentisme naturel
des remakes sont dures et graves de la
vie et voilà alors j'ai passé deux fois
le l'orbis de relance m là pour toucher
mon pour détruire un peu mon couvert il
faut faire aller retour on a essayé en
long et en travers ce n'est pas aussi
efficace et le plus efficace aller
retour dans le même sens
enfin dans le même sillon aller-retour
ok là on arrive à détruire couvert après
j'ai passé deux fois le strip till et
après on assumer et après à l'aveuglé
entre le semis et la levée je repassais
le toujours en plein le leurs beats là
je serai utile
mêlant plein à la place de passer soit
la houssoye là ça marche très bien parce
que ça nous les herbes qui sont en train
de lever sur laurent il nous les pets
aussi ça nous les mais il faut le faire
entre le semis ça c'est un passage
obligatoire en bio même tous ceux qui le
font en labourd et le foncier fonctions
si on se résume au lieu de labourer on a
mis une plante au lieu de biner on a mis
un outil qui va écraser mais on met un
outil qui touche les plantes même pas
que ça enfin très peu le sol
l'idée étant de sortir du binage
duvinage avec le sol nu et la taxe sur
le sol des trois premiers centimètres ce
qui est toujours dommage pour un sol
parce que même si c'est en surface cela
pose évidemment un certain nombre de
problèmes donc beau
beaucoup moins d'énergie fossile pas
d'intervention sur le sol et une gestion
fine du couvert végétal au bénéfice du
la plante et on voit bien que ici on
arrive dans un dans une production qui
est payé finalement c'est comme au
jardin on a une production
c'est le but c'est le but c'est d'avoir
même encore plus de bailliage qu'ici
avec le seigle c'est possible après ça
pousse partout alors bon ben je pense
qu'on est là où il faut continuer à
travailler quoi il faut trouver les bons
coups vers un monde qui me dit il faut
semer salah soit là non des intrants
chimiques dans l'agriculture biologique
un du coup d'année là c'est tout en bio
mais bon après si beau y avoir juste pas
s'il ya des fois j'en à la en amis du
soufre du soufre élémentaires sur le
soja est très sensible à ça à prier des
choses comme ça à rechercher pourront
peut être boosté surtout pour le
démarrage
moi je crois et oui comme là il y avait
une zone où on va au devant des
difficultés aux siens oui il y avait une
carence en août 1,8 en potasse parce que
c'est beaucoup découvert et pas dans le
sol et avant que le couvert le trot
mètres dans le sol il ya un laps de
temps là où hélas du coup quand mais
après il existe des produits des engrais
biologiques quelque part mais l'idéal
c'est des fumiers les fumiers de bovins
de moutons une fois vraiment cessé c'est
ça la panacée du coup pour être pour
être très concret on évite combien de
passage d'outils de travail du sol
puisque pardon non on en est vite pas on
en a autant voire plus mais mes couteaux
moi ça m'arrive
là là on consomme 2 à 3 litres à
l'hectare j'ai bien dit combien de
combien évitons nous de passage d'outils
qui travaillent le sol
j'ai pas j'ai pas parlé de nombre de
passages mais tu as raison de deux parce
qu'il faut être très précis en termes de
nombre de passages de consommation
extérieure
moi je parle bien d'outils qui
interviennent ce qu'on appelle un père
tue
batteur sur le sol faire une machine qui
rentre dans le sol qui s'appelle une
dent elle est animée ou pas qui
s'appelle une lame qui s'appelle un
disque qui s'appelle et voyant le strip
till deux fois oui là où une fois là ça
touche
et attention ça touche 25% du sol
et oui c'est pour ça que vous avez bien
compris la surveiller du soleil en plus
alors donc on passe même pas un passage
c'est important elle a aussi mal à aller
plus loin
quelques voix si on fait quatre passages
sur le 1/4 de surface si on travaille
toute la surface après qu'un passager
vous comprenez pourquoi il est optimiste
il a du matériel en commun qui lui coûte
trois fois moins cher et il fait trois
fois moins de passage et il touche
quasiment pas le sol
non mais le but c'est de ne pas toucher
le sol le moins possible enfin c'est pas
la limite ou est ce cas va être mais là
là quand même je suis assez confiant
dans le pire c'est que ces bains où ça
marche le musée sanitaires les plus
fragiles dans les boules ben oui c'est
là où sa hanche est mieux là ça marche
c'est une tonnerre là il n'y a pas de 46
à rien tout va bien le lot du chant et
c'est la boulbène en bas c'était de
l'argile est avant tout la partie
boulbènes il est même plus propre que
j'en ai fait toujours des échecs le rsa
côté qu'ils aient travaillé en surface
et hélas il n'y a pas de qeynos padilla
pas de d'amarante ya pas de noël alors
qu'à côté il y en a et il ya des fautes
il y un c'est pareil quand il ya des
choses il ya beaucoup de choses à
piocher quand même après on n'est pas on
n'a pas encore le recul suffisant pour
dire à tout le monde faut faire comme ça
comme ça il semblerait il semble
regarder parce que l'année dernière la
pesée qu'on a fait on faisait 20 % de
rendement - mais c'était on l'a eu
beaucoup trop tard les rebelles étaient
grandes mille reflets rosés plus tôt et
voilà
cette année on l'a eu au début et du
coup ça c'est de l'agriculture on avait
discuté de ça il ya quelques quelques
mois ça c'est de l'agriculture d'une
très grande précision puisqu'on parle
beaucoup de la culture de précision est
ce que vous avez réglé vos beaux
problèmes de géométrie de rtk et non
c'est pas fini pas souvent parce qu'il
faut être greffés des questions de
budget oui oui
parce qu'après c'est pour à les adapter
à des nouvelles machines mais c'est vrai
que ça existe et je lui disais amis
samedi ni le concepteur la deux
si on avait dû système ravenne de
guidage rtk mais qui aimait l'inde
depuis qu'on a mis des disques derrière
même sans guidage
franchement ça va bien ça va mais sans
rien du tout ok très bien on peut on
peut passer il nous reste un petit peu
de temps on peut passer à la phase
question si vous en avez au premier rang
une dame qui vient de catalogne exprès
pour te voir tu vois françois et oui
c'est ça un paysage in marciac ces
regards croisés
yat-il monsieur nous vous écoutons par
l'effort il ya un micro dans la salle on
vous enregistre on vous écoute question
qu'est ce qui va contre vous avez essayé
la tente
l'itc fl en fait comme dans ses valises
ils le font là il est laid c'est là
qu'ils ont mené là depuis quatre ans là
c'est sur le blé c'est magique c'est
formidable mais sur les cultures de
printemps mais je n'y crois pas par
rapport à l'eau parce que là la culture
plomb la coupe plus gros bout de suite
le couvert si on le nom le lasserre sur
place pour que ça le fatigue ça le
fatigue et il est quelque part il est en
repos végétatif quoi il est alors que
s'ils ont le plus on le coupe ou ont
produit le plus de biomasse
c'est en faisant des passages d'animaux
le plus rare le plus souvent possible
mais en laissant toujours en arrêt là on
fait donc là c'est pareil mais ça fait
aussi beau ou biomasse je suis d'accord
mais il faut beaucoup 12
ça va bien pour les cultures diverses
moi je n'y mets pour les cultures de
printemps à
et même nom mais voilà après cela peu
importe ce que si je sème des plans
spécifiques
ça change rien si c'est pas de laxisme
je sais aussi que j'ai souvenir et 6 et
parce que même là nous montre mon but
c'est de laisser de la luzerne entre les
rangs comme ils font eux mêmes pas mais
pas de faux pas de la coupe est
justement mais de là à freiner de la la
série parce que là c'est ce que je mets
en place cette année pour faire le colza
gsm et de la misère de printemps en
pleine mode jasmin
je vais détruire mais vendra de 30 cm
qui resteront pour le semis de colza
pour le semi de soja pour le semis de
maïs même pour le semis de blé parce que
le semis de blé je le fais remblais et
si j'ai pas trop de concurrence de la
luzerne
je ne toucherai pas voilà huit l'intérêt
sur d'autres commentaires remarques
monsieur ne vous écoute on réserver
facilement on arrive même à le détruire
en parfaite en aller retour
c'est toujours une question de repartir
ça le serait tellement il y avait marché
sur place qu'il met beaucoup de dents il
faut qu'il repart de lumiére par plus
clair et tout essai nous intéresse de
pas faire crever mais de le mettre pour
pas qu'ils continuent à monter parce que
c'est des époques là ça commence à pompe
et terriblement cours il y aurait en
applaudissant 80 80 cm et l'objectif
stresa de diminuer un petit peu
l'inclusion d'une vingtaine d'hectares
or aussi avoir une passe et les prairies
partout passer des prairies pendant
trois ans et après deux trois ans que
lyon est tournée pour arriver à un
système durable kacou qui durent dans le
temps qu'ils soient pas 20 ans 30 ans
comme on fait la fête jeu plus je
voulais pas dit mais enfin si si
j'insiste aussi c'est parce que quand
même payer des fois je me dis je suis
pas si mauvais que ça parce qu'on y est
je suis passé de 1 8 2 de matière
organique à 4,1 grosse différence avec
le système
quelles sont les évolutions non moi je
n'ai pas constaté j'ai constaté une
augmentation normand parce que quelque
part on mettait pas assez d'eau avant et
maintenant on arrive on en met toujours
autant on fait plus tendre c'est tout
c'est importance pour le soja mais cela
m'aurait souvent disent ce qu'ils ont
entendu mais c'est le soja besoin de
beaucoup d'eau en fin de période
et quand on a n'est pas en semis direct
et tout ça dans les coteaux et qu'on a
les terres qui sont refermées au mois de
septembre quand vous êtes rendus à 5,6
irrigation ou le soja et lanoraie
énormément besoin le sol ne la retient
pas l'eau et alors que la bce dans ses
larmes se mettre toujours ma joie suite
c'est bien des fois j'avais des
positions que je déroulé vers véro où et
quand on arrivait à la 3 4e irrigation
navello qu'il ya au bout de deux heures
qui arrivaient des jambes à partir du
jour la première année qu'on arrêtait de
labourer j'ai jamais vu l'eau avec moi
alors je vais pas changer mon taux de
matériaux
rien que le fait d'arrêter de bruit
c'est quand même des fois ce titre
certains parleraient de culture
permanente voire de permaculture ouvert
l'a découvert soir c'est aussi pour
rappeler que tu viens de le dire il faut
stocker du carbone c'est ce que tu as
fait en faisant monter les taux de
matière organique et à voir quelle que
soit la surface
parce que c'est ça le sujet sur laquelle
on travaille puisqu'on dit plus
exploités dans ces cas-là on n'exploite
plus puisque lieux dégradés on à grade
pour ses plus de l'exploitation c'est de
l'agriculture n'est ce pas les mots les
mots les mots sont importants et c'est
bien on a remis cette image là c'est
bien la politique du mètre carré
on le répétera jamais assez on a
beaucoup parlé de carbone de climat et
d'alimentation hier et ces pratiques là
sont une assurance climat incroyable je
le répète j'ai à dire les coteaux mais
j'ai traversé encore la france la
semaine dernière lire toutes les
prairies sont cramés user un sol et donc
c'est pas la peine de parler de vie du
sol dans ces prairies parce que ce sont
de belles dès le début mais y en a plus
au premier choc climatique parce qu'il
ya pas ce matelas n'y a pas ce carbone
n'y a pas cette matière qui est posé au
sol pas beaucoup d'autres critiques à le
blé colza
non c'est depuis trente ans la soul man
puis on a varié un petit peu mais pas
beaucoup eux-mêmes c'était maïs soja blé
et ça vient d'où Roll'n'Sem Orbis et
ça sert à quoi en deux mots quand demain
au conrad par contre pas ce qu on vous
connaît enfin c'est vrai c'est une
vieille histoire on a démarré sa sueur
enfin dans une ferme devant un petit
tableau des colliers il y en a fait un
petit schéma la créer pensant que eh
bien il fallait préparer la suite c'est
à dire avoir des outils ou des aides
pour gérer des adventices donc à
l'époque on faisait un constat très
simple en agriculture biologique
condamné on était condamné à travailler
le sol est commencée que le travail du
sol c'est l'outil de destruction numéro
1 de tout le système eco systèmes de
diversité il fallait en sortir sauf que
il ya aucun pont qui est proposé est
donc soit vous faites du semis direct
exactement comme françois coûtant vous
l'a expliqué il ya plusieurs vies dans
la vie d'un agriculteur et c'est heureux
parce que on a des sensibilités qui
bouge on n'est pas bloqué
condamné à faire un truc et un moment
donné on dit maintenant mais en
agriculture biologique pour qu'on ferait
pas ça et le problème s'est posé très
très vite
à l'intérieur du programme agro qu'on
avait avec l' agence de l'eau adour
garonne et on se dit qu'on va essayer à
une réflexion prototype on va permettre
aux agriculteurs bio mais les autres
aussi fatalement de ne plus travailler
le sol et d'enlever les phyto donc il
faut désherber et alors on a essayé
plein de trucs c'est ça a démarré la
première idée c'était pas la bonne donc
on a fait un prototype donc deuxième
année donc c'est directement on va dire
un fabriquant un gars qui est doué dans
la ferraille mais très doux et
d'ailleurs et qui avait cette
spécificité de savoir faire des
prototypes il travaille à la carte
il fait des faits des outils à la carte
les outils qui n'existe pas mais dans
plein de domaines
donc il est doué en électricité en
hydraulique et ans après son premier
métier c'est le comment dire la paix en
eau etc assisté sur ordinateur donc il
nous a fait un modèle il marche pas donc
le modèle on l'a corrigée il marche pas
donc de proto 2 ans de proto troisième
année il ya une bonne idée qui viennent
de la bande d'agriculteurs avec qui il
travaille
puisque ça s'est fait ici dans le bain
dans le tarn et puis dans le gers en
gros voilà c'est cette réflexion est
restée ouverte les agriculteurs un petit
peu bougé dans le groupe mais c'est
normal parce que c'est pas toujours
facile de gérer des prototypes et un
moment donné tu arrives et le modèle que
vous avez là mais il était encore très
lourd très
et très compliqué c'est à dire on
n'avait pas des éléments indépendants et
on avait des rouleaux reaper monobloc
donc je vous dis pas pour changer en
rouleaux et enroulement il vous faut un
manitou tellement c'est lourd et donc
vous pouvez pas intervenir en fait donc
et c'est pas industrialisable donc ce
qui s'est passé c'est une réflexion sur
la reproductibilité d'un outil
industriel adapté à ce nouveau principe
qui était enroulé ou reaper voilà et
donc deux constats quand vous mâché une
feuille que vous l'abîmé elle repousse
moins vite que si elle est coupée voilà
premier premier constat et ça c'est
arrivé tout de suite donc de 10 c'est
bon on garde le principe et ensuite on
fait évoluer la machine pour n'avoir que
des éléments on va dire indépendant qui
sont finalement peu lourd
interchangeables et le gros travail donc
ça c'est on va dire allez le prototype
c'est sa troisième version parce que
maintenant il a fallu les prouver et
donc ça a tout de suite marché
ça c'est la bonne idée la bonne nouvelle
donc lente et encourager sauf que tous
les roulements sauter on a commencé
parce qu'un roulement du coup il est
toujours en pression en crabe
mais je vous garantis que là il a fallu
trouver des roulements qui résiste donc
premier travail maintenant on a un
deuxième travail qui arrive le sable
rentre encore dans les paliers donc ça
ne marche pas dans du sable
on a fait sauter tous les roulements
leur on a trouvé les bons mais on les
abymes avec le sable donc il va falloir
étanchéifier le palier pour les sols
sableux tous les autres ça fonctionne
donc et le troisième truc qui arrive
c'est la souplesse et un petit
caoutchouc sur la bride qui fait la
souplesse pour suivre le terrain donc
apparemment le caoutchouc ça fait partie
de la dernière mise au point nécessaire
et donc cette année
on va produire une vingtaine de
prototypes dans différents coins de
france et on va s'attaquer à toutes les
cultures et donc la bio pas bio allez
lâchez vous essayez c'est ça le mot
d'ordre on fait quelques petits tests on
sait qu'en rend ça marche de mieux en
mieux
c'est quasiment au point pour toutes les
cultures en rang et on va s'attaquer aux
blés et à d'autres choses c'est à dire
des choses qui ne sont pas forcément en
rang comme du maïs du soja ou du
tournesol
donc ça c'est au point donc maintenant
il arrive la première solution sans
travail du sol et sans désherbants et
donc elle est accessible alors elle est
pas accessible parce qu'on a un gros
problème là qui arrive c'est de passer
du prototype à la production
industrielle attention ça c'est
compliqué et donc ce prototype pour
latestère maraîchage sur les planches ce
et c'est sur des cultures spécialisées
sur delahaye janeil un prototype qui
tourne donc en lettres on le teste
partout pour avoir le retour des
agriculteurs sur le savoir faire et les
agriculteurs il nous disait mais non ça
marche pas dans le dévers donc on a
rajouté quoi les petits rouleaux
derrière fin les rouges et les disques
de stabilisation du de verre donc voilà
donc toutes les complexités agricole il
faut les intégrer dans le système est là
aujourd'hui pour la première fois cette
machine il ya de la paille
elle passe dessus pas de problème elle
ne bouge pas vous voyez donc vous pouvez
tout faire de la paille jusqu'à abîmé
une plante qui pousse donc maintenant on
pense que c'est à peu près fini le
concept il est bon en plus ce sera
facile d'accès facile d'entretien et on
regarde la l'usure des rouleaux
réellement la maintenance et le dernier
travail qu'il faut faire un don
qu'est-ce qu'il faut mettre une bande de
roulement donk stentz et ça ça va faire
partie de la réflexion qui vient et au
final on se dit bastien lâcher les
fauves c'est ça et mais tellement
partout et on finit les itinéraires
techniques donc en fait il va y vas voir
il va y avoir un drame
je ne vais plus cultiver du soja comme
je suis habitué à le faire je vais
culture
cultiver du soja adapté à la machine
c'est à dire que c'est pas la machine
qui s'adapte au système de culture
c'est exactement l'inversé qui va se
produire on va adapter le système de
culture la machine et là il va y avoir
un tremblement de terre avec nos
collègues qui vendent des intrants et
c'est parce qu'en fait il faudra faire
différemment c'est sûr donc bon lâchez
vous réinventer la façon de cultiver du
soja du maïs du blé de l'orge c'est pas
très grave
bon on va se lâcher on va se lâcher il
n'y a pas de doute merci conrad françois
il ya on va finir enfin déjà qu'on a une
belle note d'espoir on va continuer ça
ouvre sa ouvre de belles perspectives
tout ça c'est beaucoup d'acharnement
je me souviens tu m'as dit comme de
passer en bio tu m'as dit de façon c'est
un défi on va le réussir et vous en êtes
pas loin en tout état de cause
oui bon il faut encore un peu de temps
pour valides pour tous validés c'est
vrai quand on les nouveaux obstacles et
même quand la rencontre début du
séminaire tech par rapport à des
carences induite par rapport à des
choses comme ça et en bio c'est vrai que
c'est plus compliqué de trouver des
produits peu après c'est pas pour rien
que je vous parle toujours aussi de
l'élevage
parce qu'on ne sait très bien que si moi
j'avais la moitié de ma surfaces en
prairies et en plus ça porterait un peu
de fumier dans la boue
là on va produire mais on va pas en
parler on va pas se moquer des bus ou
quoi qu'ils produisent pas moi je vous
le dise
parce que où est-ce qu'on n'est pas bons
aujourd'hui en bio en blé en fait tony
brown
on n'est pas bons sur la gestion de la
zot réellement le gros facteur limitant
c'est la gestion de l'azoté et nos
systèmes de culture ne fonctionne pas
bien avec le rythme organo biologique du
sol
les demandes d'anna zones où les besoins
sont décalés soit le maïs il a besoin
d'azoté on va dire mais mais pas trop
c'est juin juillet mais il fait trop sec
donc il peut pas le récupérer
soit le blé il a besoin de la zone dans
les mars avril mai la nature ne donne
que mes joueurs donc c'est trop tôt les
besoins en azote ou trop tard la
fourniture du système et donc on n'est
jamais en adéquation les cultures raison
ce débat là et le soja
c'est la seule oui mais le soja c'est la
plante qui te le dise pas dire qu'elle
est autonome c'est une légumineuse elle
produit sa propre azote
donc elle n'a jamais en carence d'azoté
elle pousse bien mais parce qu'on a
beaucoup moins de problèmes avec le maïs
qui avec le blé le maïs on arrive à
faire de moi j'arrive à faire après
autant manquant conventionnel oui mais
tes amis tu la rose un peu mais oui mais
là c'est le songe à s'y joindre
quelque part ça c'est les cultures d'été
mais bon après voilà moi je dis
l'objectif de nos réponses beaucoup nous
ont dit il faut arrêter de dire qu'on
est qu'il faut faire du bio nourrira pas
tout le monde
musique aussi bon eh bé c'est super ça
c'est une conque succès royal vous
pouvez l'applaudir

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