Agriculture Biologique de Conservation - François COUTANT

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Entretien avec François COUTANT - Céréalier Sol Vivant Bio


Aujourd'hui, on vous propose un entretien réalisé lors de l'édition 2017 de Paysages in Marciac avec François COUTANT, un céréalier en sol vivant et bio !

Annexes

Transcriptions

Transcriptions

donc moi je me suis installé en 1986 sur
une exploitation une reprise de mes
parents 35 hectares d'exploitations qui
était à vocation de moutons à l'époque
uniquement que du mouton parce que mon
père vienne les deux sèvres et c'était
pour faire du mouton voilà et bang
problème c'est quand je me suis installé
mois le montant
ça n'allait plus du tout par rapport aux

Afficher la suite


cours ça s'était cassé la figure en 81
82 avec la sphère du rainbow warrior ii
veut prévoyez une grosse crise ovine
donc moi quand je me suis installé mais
c'était complètement différent c'était
pour on a repris un peu les dettes de
mes parents et on a créé un lac
collinaire pas c'est la grande vague
pour faire du maïs dans les coteaux une
exploitation et de 35 hectares à
l'époque plus parce que je me suis
installé comme avec mon épouse on est
tous les deux sur l'exploitation
mais mon épouse est revenue qu'en 89
mais bon voilà alors en 86 installations
la première ça va être ma première
installation à la collinaires maïs
manceron sur les semences dans les
coteaux pas de moutons parce que bon
c'était pas viable mon frère j'avais un
frère aîné qui lui et avait repris et
s'est installé avec mon père l'époque en
76 conditions quand on est arrivé et lui
a quand même gardé quelques bruits parce
qu'il y avait des couteaux tellement
raide qu'on n'a pas fait autre chose on
n'a pas pu faire autre chose
il n'a pas pu faire autre chose lui et
moi je me suis installé à part avec
justement le maïs semence pour une seule
semence et la production de canards
prêts à gaver et voilà et après mon
épouse est revenu sur exploitation 89 où
elle s'est installée elle aussi et alors
là on a augmenté encore plus sa
production qu'un arbre était guéri et à
partir de 91 92
il y avait quand même des gros problèmes
dans les coteaux par rapport à l'est
parce qu'à l'époque on labourait tout
comme tout le monde
la bourde d'un couteau mais plus ça
allait plus fallait la puissance
romain ibsr parce que bon imaginez un
peu
mailly sur maïs dans les coteaux idée
parce qu'il ya 38 % argile ici c'est
quand même beaucoup et c'est pas les
tares facile et en plus la pente et à
prendre a connu quand même un épisode
sur cinq ou six ans on a eu trois ou
quatre orage très violent on intégrer
les deux fois 100 % et une année même ce
que je disais l'autre jour là on a eu le
nez le lac damba les coteaux justement
c'est la colère c'est un champ de
tournesols tout le tournesol dans lac
j'ai encore des photos je crois que
michel marfaing regarde les photos mais
c'est hélas ça fait prendre conscience
que si tu fais rien mais ça ne durera
pas longtemps parce que quand tu as le
tournesol dans le lac
t'as pas que le tour du soleil dans le
lac là aussi le terrain prévoir on avait
un champ parce qu'il est charlotte et
les vallons tous les ballons assez court
ici on pouvait pas passer a mentionné en
bas tellement il y avait des ravines qui
était trop profonde il a fallu qu'on
passe le cover crop sur les ravines
avant de mentionner
et bien il y en avait un petit peu de
reste mais déjà on pouvait pas passer a
mentionné en bas parce qu'il y avait des
creux trop important et alors donc après
je suis rentré au c'est à grenoble pour
ça quand même un gambien un virage aux
100 en 92 ou 13 93 et pour voir parce
que vous voyez avec plus de génial plus
de développement ici plus locale et
alors je rentrais waago dock avec les
ingénieurs on a vu qu est ce qu on
pourrait comme ans pour améliorer
comment pouvait évoluer tous après il y
avait eu six l'époque où il ya eu orge
qui
ils faisaient des formations aussi en
france et ont noté plusieurs quand même
dans ce parce que oui on avait des
mollahs n'a pas parlé on avait démarré
une cuve en 89 et du talent même si vous
pourriez prendre un peu ce qui est un
peu là un peu d'historique sur la cma
mais ça a été aussi entre la cuma et
agro doc ça a été quand même des piliers
par rapport à fin des rêves c'est ce qui
a conditionné un peu toute l'évolution
après c'est pour ça que chambre de 1,6
un petit peu dessus ça nous a permis de
faire beaucoup plus de choses qu'on
n'aurait pas pu faire individuellement à
cette époque là est donc en 81
989 aux biens a créé la cuma et en 94
on a arrêté la bourre avec eux les
ingénieurs d'un gros sac on a vu qu est
ce qu on pouvait faire et on achetait à
auch manquements 1cm exact à l'époque
qui faisaient que scalper pour et en
semaine dessous ça a été le début du
changement quelque part de systèmes de
travail et de même d'assolement on a
changé un petit peu les assolements
calmes même si on est resté enfin si on
était moins maïs myspace on a introduit
un peu de blé - une année sur trois
depuis là et avec l'orge les dès les
premières années le blé le soja le soja
on a été meilleurs dès la première année
après le blé et le maïs ont été un peu
moins bon les premières années on a donc
diminué encore environnement et après
c'est toujours et remonter fois en
diminuant diminue pas mais en augmenter
pas alors que le soja dès la première
année en augmenter le rendement soja et
en avant on travaille plus du tout cela
et on était pourtant sur des sols qui
était pas brillant mais après on s'est
remis à presse avec le recul on pourquoi
on a augmenté le rendement du soja de la
première année c'est parce que le soja
il a besoin de beaucoup d'eau en fin de
cycle et comme on avait des terres qui
étaient qui devenait dur qui était elle
prenait plus l'eau quand je marche je le
disais mais notre soir là quand on
arrosait le canton arrivait aux 3 4e
tour d'irrigation je m'étais l'enroulage
et les parcelles où on déroule vers en
montant est au bout de deux heures
j'avais déjà l'eau quand le canon est en
route qui arrivaient des jambes à peu
sous l'eau pouvait plus rentrer dans le
sol et le soja comme il a besoin
d'énormément dos en fin de cycle s'est
levé à partir du moment où un arrêté
quand de labourer même si on ne
travaillait les premières années un peu
j'ai jamais vu l'eau qui arrive en bas
donc l'eau est rentrée dans le sol quoi
et le soja il à vélo c'était pas
agronomique c'est quelque part c'est
l'eau qu'il n'avait pas à la fin qu'on
n'arrivait pas lui m et dès qu'on
arrêtait le labour comme ça c'est
flagrant
moi je lis faut le dire sa fortune mois
on hâte le labour mais il y a
- quand même d'érosion la terre le fait
que l'appareil de mélanger toujours un
peu avec la terre tout ça et bien on a
plus on a beaucoup moins d'érosion on le
voyait avec l'irrigation coin les sols
se reprennent pas autant que sinon ils
se reprennent terriblement commencent à
se reprendre surface et deviennent très
dur et loire entre plus a&p notre pays
mais voilà alors ça ça a été le début du
quelque part du semis direct parce
qu'avec le workshop on en fait c'était
pas tous des fils semis direct matin ont
travaillé que la profondeur du semis le
but de hors jeu décent une fraise et qui
s'est mis sous la fraise avant que tout
retombe ça le système du cm exactement
alors les blés bon mais oui c'est ça la
profondeur de travail au sol le soja est
un peu plus ça et voilà et le maïs ont
passé ça et après on se mêle au semoir
monograine départ c'était comme ça et
après bros a évolué avec différents
types de
de ce mois en semis direct on a eu un dj
k s qui travaillent est un bien eu très
peu en france dû beaucoup de du 10 mai
qui travaillaient profond qui
travaillait beaucoup mais c'est pas du
tout ça c'est un somme aura de semis
direct à dents et c'était pas mal pour
le soja pour mais ce avait un problème
dentaire très argileux c'est que savait
la tendance à faire un sillon qui reste
ouvert et c'était un peu des avenues à
limaces et après on a eu un green plein
mais ça s'était toujours tout en cuma le
green plein c'est un semoir à disque
serait qu'il y ait moins de problèmes de
boer a joué moins de mais bon malgré que
ce soit ait jamais il n'avait aucun qui
n'était parfait le green plein je vois à
l'automne à la fin nous on se met
presque tous nos blés à la fin jeudi à
la fin parce qu'après on est passé en
bout et je suis passé en bio en 2000 en
2015 2014
enfin on y reviendra maison pour revenir
à ce semi direct donc là ont évolué dans
le semis direct alors au départ c'est
vrai qu'on avait essayé on avait essayé
tous les couverts que nous disait à
l'époque le seigle avoine le dans les
coteaux c'était catastrophique
on nous disait le détruire à la fin
enfin peu avant
et alors quand on détruisait de l'avoine
ou du seigle au mois de
2 mars par là et après on pouvait plus
rentrer en changeant le mot de passe il
ya beaucoup d'argile alors ça faisait un
paillage dessus et là la glaise de souci
c'est que des limaces et en plus on
pouvait pas on n'arrivait pas à semer
qu'enfin on se met mais c'était dans la
boue et c'était pas bon du tout et après
on en a on a honte à quoi avec les les
couverts en lens essayé quelque part
jusqu'au jour où on a trouvé la féverole
c'est vrai que la féverole c'est un
virage par rapport aux semis direct
parce qu'au départ il est ingénieur
toujours nous disaient de les détruire
et ça et on s'est aperçu qu'il y avait
toujours des petites banques qui étaient
pas désherber parce que c'est un couteau
n'avait pas les gps à cette époque là et
que là où on les airs mais pas la
féverole même quand on se mêle maïs blé
maïs était plus beau là où la réserve
est pas qu alain gerber est aussi vous
dire qu'en l'espace de souvent trois
semaines ou un mois
la féverole à passer du stade 23 cm à 1
m en très peu de temps court et ça c'est
vrai que ça a été bon c'était un grand
virage dans le semis direct et après
nous on a commencé à se mettre toutes
nos parcelles de maïs dans les féveroles
vivante
on faisait toujours en groupe c'est de
toujours trop 4 4 ou 5 heures le faire
et ça a été en est un peu là on est
vraiment et sont un peu les pionniers de
ce système de se mêler maïs d'un
découvert vivant parce que bon à
l'époque c'était en 2000
2002 2001 2002 ça et voilà et après bon
on connaît on voit les sort aujourd'hui
de la féverole commence à se développer
c'est vrai qu'en plus ça nous a permis
mois à la fin avant qu'on passe en bio
j'étais descendu même pour faire du maïs
à 98 unités azote
parce que bon il faut savoir quand même
qu'une féveroles qui fait 7,8 en on a
pesé plusieurs années là si vous prenez
un même là où il ya francis j -c
l'ingénieur du site avait voilà nos
systèmes et recense mais nous fait drôle
de nom au maïs dans les faits rôle comme
ça et ça nous apporter quand même une
quantité d'azoté stravaganza rapporte
300 unités
il faut savoir qu'un à 30% disponibles
dans les trois premiers mois pour la
culture du maïs même jusqu'à 350 unités
d'azoté sa porte
l'une fait voilà qui fait 8 tonnes de
matière sèche c'est pareil c'est pour
remonter le taux de matière organique
qui à cause pour moi je le disais il ya
que ça parce que pour remonter d'un
point matières organiques un sol qui
fait 60 cm de profondeur un point de
matériaux organiques ses 2000 unités
d'azoté pour pouvoir remonter si on n'a
pas deux heures dans le salon mon trajet
mathema la matière organique 1 hormis
les légumineuses je me dis moi il n'y a
pas d'autre solution
il faut ça quelque part le fourrage la
matière feront évidemment si on
apportait du fumier de volaille d'une
femme des quantités importantes oui je
n'y arriverai aussi mais bon alors que
là c'est plus à la portée de tout le
monde la féverole et c'est vrai que
c'était un prélat lutter non elle a eu
dans la mesure où on enlèverait aussi
dans le sol je pense qu'il ya des
plantes comme ça qu'on a abandonné enfin
on fait très peu alors qu'on aurait des
terres à lutter non mais bon quand il
n'y a plus guère d'élevage en le gers et
c'est quoi des choses qu'on savait que
nos parents ne savaient même nos
grands-parents et qu'on a abandonné
c'est comme ça et voilà est alors à
force on diminue et où on diminuait
les insecticides les fongicides on
arrivait à notre rotation depuis qu'on
n'est pas sans semis direct à peu près
toujours été la même c'était maïs soja
blé toujours maïs soja blé c'était très
facile à faire en semis direct c'était
quand même assez facile ce n'était pas
très compliqué à faire derrière le maïs
on faisait notre soja au printemps
besson 100 couverts départ mais bon les
paille de maïs au printemps été et
couvrait bien le sol tout l'hiver ça
c'était pas mal et on se met notre sujet
à deux ans et des réseaux sous jacques
qui n'a pas de ne pas une semaine bleue
en direct la salle est très bien aussi
et là il faut même jeudi si une
obligation c'est une aberration de
lycées des champs de soja nu tout
l'hiver parce qu'il ya très peu de
parieurs
hélas le sol est très vulnérable ça
c'est pas bon du tout il faut
aujourd'hui moi j'étais le soja c'est
bien parce qu'il ya beaucoup beaucoup de
gens aujourd'hui encore vous voyez ici
sur le canton c'est pour des questions
de primaire mais c'est vrai que le soja
c'est l'inconvénient par rapport au maïs
s'il ya très peu de paille
il protège très peu le soleil et ça
c'est ça pour être encore plus
catastrophique si on est dans un système
conventionnel que la monoculture de maïs
pour moi ce sera pire si on faisait de
la monoculture de soja ou si on faisait
deux ans sur trois ans aux jeunes maïs
que si on faisait que du maïs
il faut le savoir on dit là il faut
faire des rotations c'est bien tout ça
doit vous moquez d'accord c'est vrai on
n'apporte pas des autres ça mais pour
protéger le sol dans la mesure où les
gens ils continuent à faire beaucoup
dans les argiles il abreuve en hiver là
c'est encore pire parce que laisser
notre sol nul tout l'hiver au gel au
froid au soleil c
mais même ici on le voit les griffes de
blé tournesol ça n'était pas très long
quand même entre le tournesol et le
gluher ses avantages mais après il y en
a quand même qui a porté des cultures de
printemps mais ça l'est c'est un sol nu
sur le labour à tout l'hiver on en voit
quand même beaucoup dans le gers et ça
c'est vraiment c'est vraiment
catastrophique et donc à l'erreur après
voilà qu on se disait bon on n'était pas
si loin que ça du on se rapproche
quelque part du bio
on se disait et c'est vrai qu'il ya des
choses qui nous marquent en mieux quand
on voit comment il est fait souvent on
sonne trou était catastrophique parce
que travailler à outrance comme et s'est
fait en bew je me disais c'est presque
mieux de rester en conventionnel sans
toucher le sol devant alors on sait à
plusieurs lancers lancé ce défi
d'essayer de trouver des systèmes parce
que le bio on n'était pas si loin que ça
mise à part le désherbage convient en
semis direct toi qui est quand même très
compliqué mais du coup
on s'est dit pourquoi pas
se lancer dans aller plus loin on va
essayer de faire du semis direct en bio
c'est pour ça qu'en 2015 la 14 15 ans on
est passé à trop 80 toujours un peu les
mêmes du départ au même groupe on est
passé en mieux on est encore davantage
document parce qu'il ya pas mal de
matériel à et tout ça alors donc il
fallait bien il se permettait à et la
cuma c'était beaucoup plus simple ça
coûte beaucoup moins cher on achetait le
même matériel mais à 4 4 ou 5 donc
et voilà et alors on est parti dans le
bios là depuis est bon mais l'a pour
l'instant on est un peu comme dans le
semis direct au départ on tâtonnait
parce que c'est pas c'est pas très
simple mais bon il faut le mettre en
place certaines choses et je pense que
on a des pistes quand même c'est vrai
que manger réintroduit de la luzerne et
des choses comme ça pour pouvoir essayer
de faire des cultures un peu sans
détruire la luzerne forcément il faut
arriver à faire des découvertes
permanent quoi par ce biais là dans les
coteaux je pense que ça peut être une
solution
il faudra trouver peut-être qu'elle
couvert permanent il pourra avoir
jusqu'à près au niveau forte utilisation
tous hommes ou non franchement ça
m'inquiète un peu plus aujourd'hui on
arriverait à être autonome très déjà
enfin pas parlé mais l'acide
phosphorique et la potasse moi je ne
mettais plus depuis
les années 90 et le rendement au lieu de
baisser le chômage il faut arrêter de
dire il faut débloquer les salles il
faut rééquilibrer les sols
ça c'est sûr mais si on ne fait pas de
bêtises si on n'exporte pas les pailles
aussi le sol il fonctionne très bien
paru à avant de passer en bio
à la fin on était calmes en maïs ont été
1 le coteau 90 quintaux les plaines
110-120 mais en maïs en sec en son genre
entre 28 et 35 suivant les coteaux et
les plaines en gros c'est ça aussi et le
blé le blé dans les plaines on a fait
très peu un peu mais dans le couteau la
moyenne en blé améliorant la faible
presque que des blés améliorant on était
plutôt à 125 et en blé conventionnel 65
voilà mais on avait bien gagné en blé 10
quintaux largement et en maïs on a gagné
20 quintaux sur l'évolution du semis
direct avec mon anglais moins d'eau et
pas travailler seuls alors parce que
quand on regarde les marges là c'est
vrai que on peut pas il faut pas le
regarder au départ parce que les charges
de mécanisation
quand on passe d'un système de semis
direct les premières années mais on voit
rien parce que le matériel vous l'avez
enfin ça ne change pas comme ça du jour
au lendemain quoi mais après sur comme
les tracteurs et tout ça mais après sur
10 ans ou 12 ans mais là on boit un peu
la chute du matin détracteurs quoi nous
on avait un tracteur pour tous a enfin
un gros tracteur après on avait un
deuxième parce qu'en plus ils tous on
avait quand même tous un peu d'élevage
hors sol ou par là dans la cub ans on
avait un tracteur 250 ou à 180 chevaux
mais pour west 600 hectares
sur la cuma et apprend à un autre de 130
et après des petits apprennent ou petit
à nous mais pour un tracteur qui a 30
ans et pour la benne est offert voilà
mais c'est pour dire qu'un donc avec
très peu de matériel en semis direct
c'est au bout de quand on renouvelle en
cuma nous mais à force on n'avait pas
beaucoup de 9,5 au matériel c'était ça
et ça fait très peu de charges de
mécanisation ne se sont même envoyés au
gasoil même les comptables ils nous
disaient mais il n'y a pas d'erreur là
au niveau du gasoil parce qu'on était
très très bas on était on était sur des
bases de 30 à 40 litres mois sont
comprises par hectare d'ailleurs quand
tout le monde est à 150 200 litres c'est
en ce 10 mai alors les mêmes les quantum
minerals c'est pas possible
et en grand ce mets deux fois toi mais
ce mais avec un son en direct on
consomme quoi 4 litres et a ainsi que
des choses comme ça mais à la longue et
sur le renouvellement des tracteurs et
tout ça mais les charges de structure à
son très très bas fonds cessé d écart
qui sont moins je vois sur la sur le
département du gers on a des écarts de 3
ou 400 euros ha de charges de
mécanisation dans les coteaux ah oui ne
sais pas après il y avait aussi le fait
de la cuma le fait de la cuma est le
fait du semis direct des économies
d'échelle qui sont très importantes
et voilà est alors bon aujourd'hui
l'endroit notre but est là pour revenir
à notre bio c'est vrai qu'aujourd'hui on
retravaille un peu en surface parce
qu'on ne sait pas enfin on fait plein de
l'essai on sait pas exactement comment
faire alors le maïs en comme la déraison
essaie de le faire derrière du des
hors-jeu poids et là on a scalpé mais
juste une surface de travail qu'en
surface pour faire des petits dés
chômage la santé elle contient une pluie
comme ça ça fait lever de l'herbe et
après je vais mettre du fumier sur les
parcelles parce que je garde je fais le
maïs par rapport au fumier que j'ai je
pour rien apporté quoi ou très peu
quelques fientes et tout ça après on
pourrait fermer après le non non je suis
le soja et après je passe je sais moi
mon couvert de féverole mais on n'en
fait pas deux couverts par il ya une
époque on peut en arriver à faire deux
couverts en semaine couvert de soro lité
et notre soit notre couverts de pétrole
dans le sol ou après pour faire du maïs
l'année d'après et là du coup on fait
des faux semis l'été jusqu'au mois de
septembre au mois de septembre fin
septembre salle no féveroles pour le
maïs l'année d'après et on s'aime
toujours qu'un de nos maïs on les
détruit en surface pour parce que mon
âge j'ai fait des essais on va voir mais
pas quand même après on a eu un
printemps été très sec et bon ça je l'
ai toujours dit si on est quand on n'a
pas d'eau faire très attention que les
couverts végétaux
parce que c'est quand ça peut être un
problème au monde ici mais il faut avoir
de l'eau au monde ici je vois pas
d'irrigation programme qui passeraient
attention il faut ou là il faut
peut-être changer un peu le le braquer
par rapport à ça il faut peut-être les
détruire des fois un peu plus tôt mais
sans pour autant les grilles quoi mais
détruit un peu plus tôt pour que
s'arrête de pontet où les roulés ou des
choses comme ça si on n'est pas prêts à
semer et alors donc oui on fait le maïs
comme ça le soja le fait souvent c'est
même cette année on avait fait des
essais on se met des ves dans le maïs à
la volée des ramasseuses vais savoir
même un peu de pétrole et de poids et
hongrois derrière et là ça marche très
bien ça et après au printemps ont
détruit l'appareil juste en surface pour
pouvoir passer leurs autos étrillé au
moment du semis des choses comme ça pour
passer ce passage qui est primordial
laquelle entre le semis et la levée mais
là mais on a par contre on a investi
dans une rod aux laiteries justement par
rapport à tous
monde acquis a dit qu'ils ont des airs
ses trilles et là il se suit sont
obligés de labourer parce que des cas
delivery végétaux sabour
l avantage la roto i tree c'est que
c'est des petits soleils et au même s'il
ya plein de paille plein deux sas à
bourg jamais et sabine kehm mais ça
permet de laisser toute la toute la
paille tout ça donc on a beaucoup moins
de problèmes d'érosion et de battance et
après nous ce qu'on cherche et voir le
compromis ou est ce qui sera le même
entre un peu d'élevage peut-être parce
que moi j'ai quand même un peu par les
marchés comme des brebis un peu j'en ai
remue un peu depuis une dizaine d'années
au départ c'est parce qu'on a pas parlé
mais dans les parcours à canards pour ça
je vais les brebis d'impôts au printemps
pour le mettre un parcours un canard et
voilà aujourd'hui ça nous permet de ne
pas de laisser tous les débris végétaux
en surface
et pour pour éviter toutes ces problèmes
de battante c'est tout ça et donc ça
c'est pas parfait et ce serait mieux
sans doute encore de ne pas travailler
du tout le sol mais bon après moi je vis
que l'agriculture ma femme assure
l'exploitation aussi si je sors pas de
l'argent dans l'agriculture
je ne sors pas d'ailleurs donc il faut
je vis avec ça donc il faut qu'on n'a
pas le droit non plus à l'erreur et puis
brand et c'est comme ça qu'on va voir on
en fait après on avait on a d'autres
parcelles où on a fait
deux cultures ont fait hors jeu poids
mais en mettez y mélanger surtout en
conversion et en scène du soja en direct
derrière on fait tout en direct devant
c'était comme ça j'ai fait ça pendant
deux ans trois ans mais mounir est
aujourd'hui continuer sans travailler du
tout le sens d'être là c'est vraiment du
semis direct
ça peut être des pistes comme ça on va
continuer à en faire pour voir justement
où est ce que c'est parce qu'il n'ya pas
des références on en a pas c'est comme
le au départ quand on a fait le semis
direct et aucune référence déjà en semis
direct en bio bien les y est si vous en
connaissez je suis preneur qui est des
références qui marche quoi quitter
nantes parce que jong il y en a
quelques-uns mais c'est scabreux comme
non mais il faut trouver des solutions
parce que non départ oui je me dis des
choses catastrophiques parce qu'on avait
un voisin qui laboure tous là dans les
coteaux qui est juste au bout de notre
exploitation bout du lac là et pendant
deux ou trois ans il ya eu des orages
alors ebe né à chaque fois à chaque fois
un orage toute la terre qui partait mais
là il ya plus rien dans les champs il
récolte plus rien ça n'a rien récolté et
ça fait deux ans suivant qu'ils rigolent
de rien il ya plus terre il faut quand
même faire attention
la bourde d'un coteau canton plus puis
des parcelles qui était pas très
argileux c'est encore pire pour sa part
encore plus facilement c'est pour ça que
le bio aujourd'hui ford assure moi quand
je vois le travail du salagou transcom
saab et c'est pas brillant après le soja
c'est vrai que mon le cema 20
contrairement beaucoup qui le cem à 60
ou 80 pour pouvoir le bim et nous le
sommes très serré pour qui court très
vite et on le devine au départ là un
petit peu avec la route aux vitrines
comme je disais pour mère laissant la
paille thème toujours en même au
contraire ça ressort la paille la roto
vitry salal est tout de suite sans pêche
un peu de germination superbe nouvelle
coin comme ça couvre tout en scalpant un
peu en recouvrant les petites herbes qui
lève et au moins le soja et recouvre
très vite dès qu'il est auteur seuil et
couvrent le sol à 20 alors dans le sens
large là il faut y être jusqu'à fond
il ya plein de possibilités comme ça
c'est comme le même banc après le maïs
pour l'instant nous on le fait ou en
binant parce qu'on n'a pas trouvé
d'autre solution mais on sait pas il
faut qu'on teste j'en ai fait un peu la
somme il y ait la méphédrone où il y
avait dix tonnes de matière sèche c'est
ma hauteur qu'on a à peu près et bah je
sais pas il faut voir on va peser mais
bon c'est pas il y avait le problème de
l'eau cette année est bon mais sinon je
peut-être qu'on a on continuera à faire
ça parce que ça avait bien faire une
semer du maïs dans les grandes féveroles
ça c'était bien mais voilà alors voilà
sur quoi on est aujourd'hui et après on
est toujours un peu sur les rotations
quand même mais on s'est toujours du
maïs on s'est toujours du soja le blé on
l'a remplacé plus tôt par des méthodes
des cultures associées
mais après notre objectif ce serait
quand même jantes est aussi là c'est de
mettre en place quand même des luzerne
et à partir de la 2e ou 3e année semée
des cultures dans la lucarne par l'apa
les deux premiers par la première année
ni la deuxième parce qu'elles sont trop
puissantes et là on n'y arriverai pas
fanny regrette je sais pas mais bon
c'est ce qu'on voit bien qu'elles sont
très puissantes là et quand elle
commence à être un peu moins puissante
l'intérêt c'est de garder ses couverts
permanent et de semer les cultures
dedans après jusqu'où on ira est ce que
la luzerne c'est le couvert impeccable
c'est pas sûr est ce que le lotier
serait pas plus adaptée est ce que mais
bon les références il faut qu'on se
l'est face c'est pas grand monde qui
vous les donne
mais il faut trouver des systèmes comme
ça et peut-être que après c'est sûr que
quand on fait les méteil si on a de
l'élevage
s'il ya des zones où vraiment il ya trop
de riz gras mais vous mais vouloir hub
année c'est top
et vous gardez en culture tout ce qui
est pour ça que je dis peut-être que le
compromis serait quand même enfin le dit
énormément le bios et enfin est
théoriquement il fallait avoir de
l'élevage
alors que dans le gers cela tous les
vieux qui sont passés là n'est pas
d'élevage que des céréaliers lorsqu'on
fait un peu peur mais bon après voilà il
ya plus d'heures de tracteurs ça c'est
sûr et il ya ce matériel spécifique au
bio en plus y'a pas fort en il ya un peu
plus mais y'a pas donc plus de ça pas
très vite
parce qu'après on du fait que ce soit en
cuma si on a acheté quand même pas mal
le matin mais c'est comme s'ils
vendaient à 50% alors par le biais des
cuma par le biais de l'amortissement on
arrive quand même à aborder des coûts
relativement bas après on va faire plus
d'heures de tracteurs on n'a pas
augmenté le nombre de tracteurs pour
l'instant on est restés ils font quand
même un peu plus d'heure à terme d'après
mais c'est parce qu'on veut se caler
aussi on va voir les systèmes des
premières années et ça faisait beaucoup
de choses à mettre en place mais après
dans un roulement moi je me disais il
faudrait avoir au moins un tiers de
couvert permanent alors là déjà tu n'y
touche pas pendant ou très peu coincé
c'est pour ça mais on veut sans nous qui
rend un peu plus
il ya un coût déjà le la roto i tree la
bineuse pour l'instant mais la bineuse à
terme moi je crois il faut qu'on arrive
à s'en passer
mais au départ on a besoin de vivre
qu'on a besoin de récolter alors en
attendant de trouver les systèmes il
faut faut pas rien faire enfin faut pas
se lancer quand même ça sur des
centaines d'hectares sans savoir ce
qu'on va récolter quoi alors on le fait
que sur des parcelles d'essais pour
l'instant un pro mettre au point ce
système en bio sous couvert un copain
voilà bon c'est sûr que après le bio moi
je lis les c'est quand même nettement
plus rémunérateurs
aujourd'hui ça permet d'avoir des
chargeurs supérieur promotionnelle
l'ipod photos d'orchidées après juste
passé durant sans parler des aides
parce que les aides bon c'est sûr qu'ils
auraient les aides en plus mais vous en
prononçant les touches au compte-gouttes
heures même depuis 2015 on n'a pas
encore tous touchés la première année
nous c'est la première année qu'on avait
des z en 2015 et oyonnax il nous en
manque encore la moitié donc mais malgré
ça si on travaille bien si on réfléchit
bien si on fait pas de bêtise c'est
quand même nettement plus rémunérateurs
que conventionnel aujourd'hui ouais
c'est vrai qu'il ya une demande terrible
en production bio en céréales et tous
nos débouchés nous aujourd'hui
bon on en fait avec un gros bloc on en
fait un peu avec la lourdeur qu'on en
fait directement il des bretons il ya
les bretons qui sont très demandeurs et
lens plein de porcherie de bâtiments
tout le monde parce qu'on a le stockage
où il y en a pas parlé on a un stockage
en fumant en plus et une fabrique
d'aliment parce qu'on avait tous tous
ceux de la cuma la base on a tous un peu
de hors sol on avait dû prendre
plusieurs mon épouse en a quatre
bâtiments de poulets label avec edwards
avec un de mes frères et du canard prête
à gaver presque mon autre frère gérard
qui a les moutons et on a une fabrique
d'aliments au cumin et le but ça serait
ça même d'avoir les poulets aulas on
peut les passants bio maintenant si on
veut du mouton ils sont pas 100 bio
c'est de faire la ligue mais même en bio
parce que là aussi une intérêts terrible
oui oui ça peut lui mais bon c'est pas
ce qu'on veut faire trop de soja il est
certainement rémunérateurs que les gars
et on pousse trop quoi et mais par
contre moi je trouve ça un peu un faux
problème un iphone c'est un problème
mais il faut s'en occuper quoi il faut y
mettre de la main d'oeuvre assez
rémunérateur le soja et c'est parce que
vous allez y mettre à les deux ou trois
cents euros de main d'oeuvre à l'hectare
mais pour déjà pour mettre 200 ou 300
euros demandeurs vous allez passer du
temps quand même s'il voulait nettoyer
après vous n'aurez plus dans le soja etc
11 10 la merde
le problème c'est maïs parce que le maïs
les datura on les voit pas alors que
dans le sous genre les voit on peut les
enlever jusqu'à la fin alors que dans le
mail son avocat et là il en restait
alors là il ya de la graine est là pour
éliminer du datura à 500 da
mais c'est vrai que c'est dommage enfin
les gagne peu après c'est comme tout et
on est quand on est en conventionnel
n'est pas on n'est pas en libye mais des
fois 150 200 euros désherbage et là on
ne veut pas mettre 150 euros de main
d'oeuvre sont nuls
il vaut mieux mettre 200 autres
manoeuvres que 200 autres désherbants v
quand vous avez une culture qui vous
rémunère à 2000 euros ou 2500 howard
3000 euros l'hectare il m 2 ou 300 euros
de main d'oeuvre et surtout le datura
2010 on peut l'enlever dans le soja
au contraire moi dit il faudrait faire
du soja pour supprimer la tuerie parce
que là on les voit on peut les enlever
alors que damas le problème s'il reste
toujours et là tu as de la graine c'est
vrai qu'il ya des oui il ya des erreurs
comme ça mais il ya des arbres qu'il
faut pas supporté le datura il faut pas
le supporter il faut y mettre du monde
mais ça c'est mon point de vue après
chacun fait dévier libre après on avait
en avec un machiniste hymne aux nouveaux
aussi pour les ingénieurs de grown up et
nous laver ni une vie ni conte chant ça
permet d'éliminer 70 75 % des mauvaises
graines signé s'y met on passe au dessus
sur tout d'une culture basque quoi que
ce soit nous n'en fait pas encore de la
lentille du même dans le blé même dans
le sous genre la ccdd ici mais on estime
au dessus de la culture ça mais ça fait
douze mètres de large et ont passé ont
rasé la culture
donc tout ce qui est au dessus que soit
il la folle avoine dans le blé que ce
soit justement même les datura ou les
quais n'ont pas dans le soja dont on
coupe tout ça supprime pas tout mais 75
% quand même de moins jeunes
mais bon pour l'instant on sait enfin
parler un petit peu mais on n'est pas
n'est pas vraiment calé quoi notre
itinéraire mois le maïs je le fais
souvent derrière les chaumes d'orge
points un peu comme avant le blick est
là derrière le mont orge fois je passe
un petit coup d'oeil chômeurs à disque
site où la moisson mois de juillet et
après si j'ai pas de pour faire lever
les toutes les mauvaises graines qui a
dit qu'il pleut un peu par salève et
s'il n'y a pas de suivre les champs
après s'il n'y a pas de de bisannuelles
là comme les mains si où les rumex et
tout ça quand il y en a je passe on
passe en un petit scalpeur qu'on aura la
cuma où on met des ailerons mais pas
parce pas profond mais pour bien se
calmer mais c'est un peu plus profonde
et je sais déjà à 5 6 cm qu'on se calme
tout bien dessous pour que les mains si
on la supprime complètement
et quand il n'y en a pas non je vous
pire je repasse une deuxième fois le
déchaumeur à disques là justin surface
là sur trois ou quatre centimètres pour
faire à nouveau une autre levée plus
tard et après au mois de septembre
en somme nous fait voir là dedans
féveroles un dernier on a mis un peu de
baisse un peu d'avoir mais on sème là
dedans et au printemps soit un chemin en
face à epalinges effet les deux l'an
passé j'ai mis parce que les parcelles
de maïs c'est là où je mets mon fumier
de canard ou donc soit je le mets à
l'automne il ya des parcelles ou quand
ça va bien automne même qu'à son sommet
les féveroles je t'aime quand même le
fumier dedans je n'ai pas mon fumier de
dans le tonneau mois de septembre table
quand c'est très sec sur le pacs très
sec
moi je savais pas en france mais
une vingtaine de tonnes 15 mois mais
c'est du chum et le fumier canard était
pas très riche qui me plaît à nommer
mois mais fumer canard s'était pas mais
maintenant on arrêtait la production de
canards là depuis l'an passé à cause de
la grippe aviaire compliqué et alors
voilà je mets mon fumier soit la soie au
printemps il ya des parcelles je le mets
au printemps et au printemps donc quand
on fait vraie leçon quand on est prêt à
assumer qu'elle comporte pas longtemps
avant et enfin cette année on les avait
détruit un peu avant parce qu'on avait
déjà huit 8 tonnes même qu'on n'était
pas prêts à semer et comment voyez que
ça sécher et qu'on a le problème c'est
qu'on avait les lacs étaient presque
vides et alors là on faisait guère qu'on
avait peur comme ne pas avoir d'eau
qu'on a eu très peu beaucoup de là que
j'avais deux tours d irrigation au lieu
de 5 ou 6 ou 6 ou 7 mois alors là c'est
vrai qu'on a pris peur et donc on à
détruire non couverts de féverole pareil
en travaillant en passant deux fois mais
sur ce à quoi on fait un poil et 4 cm
sur 4 cm mais en passant deux fois un
peu croisée à 30 degrés mais là vous
pouvez semer le maïs vert et où j'ai mis
le fumier je l'avais mis à j'avais roulé
j'ai mis mon fumier j'ai passé des
chômeurs deux fois et voilà et là on
fait un match c'est vraiment moche comme
la cire et que là on n'en est même pas 1
à détruire la féverole quand ya huit ans
veut pas détruire règles de l'art où les
allées foutu mais le problème c'est
justement les herbes qui lèvent quand on
s'aime et pour pouvoir passer on passe
ça pour pouvoir passer l'artois et tri
entre le semis et la levée c'est dommage
mais bon il faut choisir le moindre mal
car quelque part c'est ça
mais l'avantagé à rothau maîtrise et
qu'on peut la passe et même si tout se
vole choix de fumier de trucs on passe
nickel
au contraire même ça le relève sa relève
toute la paille et ça c'est pas mal
franchement ça c'est bien parce que le
maïs lui comme il est droit comme ça lui
passe bien à travers les pas de problème
et ça empêche quand même de l'herbe
de l'air à certaines herbes de lever et
de la passe et on en recouvre on en
arrache la tout petit quand c'est juste
juste jamais conséquence il fait très
chaud
trois jours avant en le temps de le
faire quoi que ça sèche pour faire
crever l'herbe là et on s'est menti
quand vous avez eu 82 fait drôle même
avant centre on voyait pas les endroits
où il n'ya pas de starter comme vraiment
la fin avril c'est c'est un allié du
maïs terrible pas franchement c'est pas
personnel est capable de savoir
exactement qu'est ce qui fait que ça
pousse aussi bien dans une dernière
erreur
il ya plein il ya de la zot c'est sûr
mais il ya une compatibilité entre les
deux qui est terrible quoi qui est lié à
quoi on sait pas trop c'est compliqué le
sol
il ya tellement d'éléments alors qu'est
ce qui fait que ça ça fout un coup de
fouet comme formalité on verra mieux où
on en est c'est de cela on voulait pas
en voulez pas avoir du tout d'abord on
s'aime très tard on se met jamais et on
line dernier on a fait
80 km taux de rendement sec et mais bon
peut-être qu'on pourrait quand même
arrivé à semer un peu plus tôt on a ce
mai début juin l'an passé c'est à dire
la somme est plutôt en hausse mais
justement 25 mai je pense que justement
on va on peut gagner 10 quintaux comme
ça mais bon c'est vrai qu'on me l'ait
privilégié de ne pas avoir d' air pur
pas savoir quoi parce que même l'an
passé il y en a qui se sont fait avoir
comme ça quand on s'aime trop si on peut
pas passer entre le semis et la levée
après un cd compliqué de l'enlever
l'herbe sur le rend si si si on peut
deviner un passe justement le fait qu'on
ait fait ce match là on peut passer à
bing dans ce match là si si si si même
là où rod a dit puisque en hainaut où on
avait des housses pour la cuma même
quand il lève là on peut passer là où
pour éliminer les herbes sur leur toit
mais toujours en gardant la paille
dessus quoi ça c'est leur intérêt
d'avoir des machines alors qu'en
conventionnel je parle en bew en bio ou
conventionnels les gars qui laboure tous
parce qu'ils passent leur herse étrille
la herse étrille c'est pourtant moins de
bye c'est nul mais vraiment nul
les où ils s'en servent vraiment s'il
est où elles ont toujours su porter la
parole sont fait rien on reste sur la
parcelle souvent c'est du maïs du soja
derrière c'est là aussi ce que je vous
disais tout à l'heure on s'aime à la
volée en couverte d'alcan hongrois pour
recouvrir le couvert et après notre faux
gens ont fait pareil coleman plein on
passe de coups de petits de chômeurs
edward grey tout fait comme ça il va
faire à 40,20 doute soja dernièrement il
a passé deux coupes des chômeurs sur ça
croisé dans ces féveroles est encore
gérable mon autre frère mon troisième
frère ilan a pris une partie parce que
comme prendre un tracé qui avait rien à
manger
alors du coup ils en ont eu une année la
moitié du champ pour les moutons il a
passé le déchaumeur à disques dessus
après où c'était boyer il a droit il
avait broyé
il a broyé quand même avant de droite
souvent quand il est trop gros ou vers
la devèze par là avant de passer le des
chemins 10 passes
je me rends à dix coups de fouet en
scène le soja par ailleurs et ce même
système on passe à rodez i tree hill et
les orges poil or là on fait de tout
mais on en ciel en direct et on enseigne
aussi à la volée parce qu'avant on n'en
a pas parlé mais on faisait presque à la
fin de tous nos blés on se met à la
volée avec des distributeurs d'engrais
et ont passé le déchaumeur à disques
juste pour recouvrir juste on prend
juste la paille de dessus la haie on
couvre comme ça ça marche très bien en
blé et même en conventionnel
je ne sais pas pourquoi les mecs ils on
avait gagné 10 kenshoo nous par rapport
aux six mois en semis direct afin de
faire comme ça parce que on a beaucoup
de versant nord qui sont très argileux
on a beau coup de bordure de bois qui
sont très merdique déjà quand on sème le
blé au 20 octobre et tous les semoirs de
semis direct on avait jusqu'à maintenant
mais les doubles disques la cantine
saleh veut bien se passer à la question
mais ça ça force trop la terre saleh non
mais sa force trop l'argile et après ils
tablent pas du tout le blé alors que
quand on s'aime à la volée qu'on recourt
celle inverse quand le déchaumeur à
disques qui soulève la terre il est il
abîme pas du tout quoi et après ça
relève parce que toujours humide et
ouest période mais voilà il en avait en
gagner 10 quintaux sur toutes les
parcelles où on avait déversé en europe
ça l'était beaucoup plus et aujourd'hui
encore on en fait dès lors je les fais
encore compte on en fait aussi au semoir
en ce moment
semis direct monsieur même se marque
pour le soja c1 ce moment roanne sens et
c'est vrai qu'il abîme beaucoup moins
calme que les autres qu'on avait avant
parce qu'ils soulèvent la terre
contrairement à un réseau aux autres
qu'il écrasait soit il la soulève la
terre et il posera qu'en dessous il
rappelé donc tous les autres il force la
terre la l'écrasant baïla pousse donc su
il a soulevé comme un déchet mardi ce
qui lie la même inclinaison
voilà les itinéraires c'est pas c'est
pas du semis direct mais bon c'est pour
l'instant c'est ce qu'on a trouvé de ce
qu'on essaie après on va essayer
d'avancer quoi par mois moi je trouve
c'est déjà pas mal parce que même s'il
faut continuer à faire beaucoup de coups
vers quoi cela vous vous trouvez qu'on
ait droit qu'on les laisse en surface
comme ça même si on ne travaille 5 cm je
sais pas il faut à voir si ce sera
encore mieux de de trouver des cultures
qu'on puisse ce magnifique mais je ne
sais pas il faut trouver l'équilibré ou
est ce qu'il est et parce que bon après
c'est aussi l'avantagé du but on s'est
quand même faut pas l'oublier quoi c'est
pareil comme c'est du bio et je m'aime
pour le sol
j'ai l'impression qu'on aura mon qu'on a
moins d'érosion en bew à travail égal
quand même qu'il ya moins de d'érosion
en bio qu'en conventionnel mais même en
que même les gars qui l'a qui laboure
ils ont moins de problèmes d'érosion
même il y en avait qu'un faux pas dire
qu'il n'a pas il ya beaucoup trop à mon
goût mais il y en a moins quand les
produits chimiques il y là ils doivent
détruire encore plus de 1 à +7 vu le
mine qui cette colle qui en sont à leur
corps labour en bio mais il y en a même
en labourd
on a moins de problèmes d'érosion grave
un peu moins de problèmes bien un peu
mon lit pas que c'est parfait mais c'est
loin d'être parfait
lamoureux mais c'est pour ça qu'après on
travaillé un peu peut-être qu'en récents
sur ce système il faut voir dans le
temps cela c'est toujours du gore mais
bon après moi c'est les rotations vapeur
ça ces avantages du bios et cambio on a
en a
deux cultures ou 3 à notre panel on en a
sept ou huit ou dix qui sont rentables
conventionnel le problème c'est qu'il
n'ya pas beaucoup de grandes tables
c'est un gros passé l'heure notre
problématique en herbe c'était les
graminées stival ses terres digi terre
toussaint panique et c'est de vouloir
insister trop
c'est tellement alléchant de faire du
soja on se dit allez moi je fais deux
ans aux jeunes en maïs je reviens en son
genre ça il faut le faire il faut couper
il faut absolument couper les rotations
un peu parce que au moins dans les
coteaux dans les plaines et on y arrive
à l'été arrive hein les gars il y en a
qui arrivent depuis longtemps mais
d'abord en motion
moi je trouve ça dommage moi je crois
que on arrivera à faire autant de
revenus il faut le faire un peu comme on
le fait avant il faut pas le prendre sur
l'année il faut le prendre sur notre
rotation quoi total même si une culture
qui vous rapporte moins
si les autres vous rapporte plus comme
la cette année j'ai fait un saut jean
derrey trois entrées
j'ai fait que ce soit j'ai passé mon des
chômeurs disent que la somme a pris pour
la détruire quand même j'ai fait
consommer je suis jamais revenue il n'y
a pas une herbe non non j'ai hélas je
viendrai pour moissonner quoi et ces
échanges qui sont capables de faire 35
40 quintaux dans les coteaux tu te dis
aux gens on en parle avec les ingénieurs
l'agronome michel miron il me dit la
tuque en refaire un sous genre là tu
sais ou pire tu fred bon départ dans les
coteaux moi c'est ce que je vis d'elle
et c'est pour ça qu'ils équilibrent des
avec les animaux seraient parfaits trois
ans de prairies deux ans de soja et b
calcul est revenu parce que deux ans
ce genre dans les coteaux vous êtes
capable de faire 35 à 40 quintaux vous y
feriez vous à partir de matériel il faut
voir loin si on veut on pouvait le voir
mais en plus une parcelle qui m'aiment
pas irriguées cerf-volant cette fois
c'est pour dire qui est des systèmes
quoi alors si on est capable de
revaloriser un peu la prairie là où la
luzerne ont quelque chose mais que même
en contient quand on compte aujourd'hui
mes collègues raconte t on les inciter à
faire des trucs là quand passer la
bineuse ou pas c'est tout là et que
encore vous l'avez salle et vous fait
jamais ce moment là il faut compter que
c'est sûr qu'aujourd'hui l'élevage ne
peut pas n'a plus loin en coupe devrait
mieux avoir plein de fumée dans le gers
heugas pas du tout le gers rails le plus
du tout de fumier en plus mais qui
vendra pas ailleurs ces lettres le
bouquet ouais mais là je la fin c'est la
fin d'un système
c'est vraiment la fin d'un système n'est
pas pour longtemps
vous venez l'appareil mais pas d'animaux
c'est bon on peut aller loin
donc je vous la boue rêve en hiver quand
même parce qu'on a perdu on n'a pas
parlé mais je suis passé de 2,2 j'étais
à 2% dans les coteaux gramme de matière
organique en temps 80
un an 93 14 je passe à 3 % de matériaux
ni la 20 ans presque mais on va plus
beaucoup plus vite maintenant avec la
féverole avec des choses comme ça des
parents les couverts on n'y arrive pas
on a essayé plein de coups vers le ciel
fm plein plein peu mais on ne savait pas
on n'y arrivait pas
et après il a fait voilà changer de zone
mais on arrive à faire deux couverts
fonctionne a pas d'herbe l'été dans une
bonne rotation on peut faire un sorgho
juste après la la la mosson même mettre
le fumier là que je veux m lemaitre puis
faire le sorgho et après semaine folle
de dans ses explosifs en pole mais
derrière ce qu on ne détruit pas le
temps joue en simple dedans quand il est
lié comme centre prêt quand on est
dedans et lui continue à pousser mais la
féverole le temps qu'a poussé peu après
le sens oui gel et la féverole elle est
allée des gens peuvent grandement à la
con mais juste commence à pousser
l'aérien au sort elle ne pousse que
l'hiver et ça sera déjà mais ça c'est
celle optimum ça parce qu'on fait quand
on arrive à faire des tonnes de sorgho
et dites nous ferons en plus du maïs non
parce que c'est pas en plus d'humanisme
enfin ça c'est en faisant comme une
culture dtc des agricultures dtcc en
plus du maïs trop si on aller par là
mais sur plus qu un peu plus qu'un an
parce que c'est du mois de juillet au
moins de serre à condition de ne pas
faire que du maïs après parce qu'on a eu
on n'a pas parlé de la composent sont un
buzz ça ça peut être un peu la cerise
sur le gâteau quand même pas rien malik
auto puisque quelque part ils ont droit
sans faire vraiment de l'agroforesterie
pur et dur ça devrait être obligatoire
de faire même des uns ou des bandes
enherbées là quand il ya des fortes
pentes longue même lord obliger à faire
des bandes enherbées de 5 mètres au
milieu des champs tous les 80 ou 100 m
tous les 100 mètres 5 mai de berne
ça devrait être obligatoire c'est sous
ces coups
mais là nous on l'a fait avec des ae et
arbres en plus mais s'ils veulent pas
planté de fci sont allergiques
météo oblige à faire cinq mètres de deux
bandes enherbées
mais c'est il faudrait que tu laisses
wade pérenne le rude hier nous ne rêvent
que de ça s'arrête bien calmes semble
pas même effet mais ça certainement des
racines puissante que ça que loi pénètre
terriblement quoi c'est un peu comme
commune aurait fait ça si vous pouvoir
de l'opinion et des tombes de l'eau
c'est vraiment à on y est on y faisait
pas assez attention m'apprécient les
vers de terre de suite vers de terre ça
va vite
si tu arrêtes de travail de labour et la
même marche
bon je compte entre les multiples aux
citoyens peuvent maintenant vers des
termes pas et rien parce qu'on laisse un
matériau ligne de sujet puis qu'on nous
laisse pas le dessous alors là sa soeur
ça revient vite
or pour peu que tu mettre un peu de
fumée ont été encore plus vite mais bon
même sans fumée il faut laisser les
couverts dessus la même si tu es d'être
en surface c'est sans doute encore mieux
le semis direct mais après il faut voir
c'est après il ya pas de lit faudra non
plus il n'ya pas de y'a pas de
désherbant et elle c'est là où c'est
quoi le mieux c'est vrai
c'est un terrible challenge qui a
comparé d'affaires est il sur titres en
gros mais si on arrive à faire vraiment
du semis direct sur ce je sais pas après
tout donc dit ça il faut pas non plus
focalisés sur des systèmes et puis dire
c'est un grand bien mieux il faut plus
du tout il touché travailler trois
centimètres avec ses ont fait vraiment
des grands couvert tout ça je sais pas
peut-être que c'est moins bien mais je
n'ai pas le recul pour pour le savoir
pour l'instant
après c'est vrai que nous quand on est
passés ans en bew davantage qu'on avait
c'est qu'on avait vingt cinq ans presque
de ce média est derrière et je pense ça
c'est un atout terrible ouais moi
j'avance je fume je vais être un peu le
bouchon g sur le maïs là où je mets pas
au goût de fumier mais voilà à quoi nous
bouchant des fientes de volailles et
mais sinon ouais preuve juste c'est de
mettre des minéraux là maintenant du
minéraux pour équilibrer bien tout il
faut qu'on s'aperçoit séminaire où
vivent tonix meiway la presse et pour
rééquilibrer le sol même en profondeur
pour pas connaissez zone à mort au pack
up pour que le soliste que ce soit
carrément la structure du sol qui voulut
mais enfin une formation cet hiver un
site web bien que même tout devrait la
faire c'est toujours nation sur les
minières où il vante le toit le gros
obstacle aux semis direct au départ il
ya autour des bulls tél laisse moi il
n'y a pas de moi on n'est pas de savoir
pour qui se met bien dans les couverts
c'était un obstacle entre elles entre un
frein en semis direct est énorme
le smur a6 et un près c'est même encore
aujourd'hui moi je vois encore un frein
pour beaucoup de personnes
il n'y a pas de six mois vraiment adapté
il y en a maintenant calme et on a quand
même un peu
mais ce n'est pas c'est pas très
simplement sais pas si c'est un peu
grâce à moi bien refermée souvent tu
arrives pas vous fermez bien derrière
semis direct et ça c'est problématique
too ouais ouais ou s'assèche et puis ça
s'écarte
au départ c'est nous qu'on l'avait
modifiée notamment anaïs classique est
un ennemi des disques derrière la place
des roues pour pouvoir refermer
et au lieu de faire une tranchée ça
faisait presque 3 et du coup ça s'écarte
et pas quand ça séchait et puis ça a
beaucoup plus de puissance ont refermé
ou de tacite c'est pour fermer les
petites roues lines on avait les listes
incliné comme ça derrière vers les
disques sommer points et alors ça ça
ferme et un latéral mais là c'est là
qu'est de l'agroforesterie avec les
moutons
il ya luzerne trèfle et chicorée du tout
merisier ferai le poirier francs poirier
ou et francs kiala noyer
ce départ dizaine d'années
quatre ans ça c'est marrant ça concerne
tout le soja et le concert avec le soja
et les hors-jeu poil et féveroles on
s'aime tous avec ça c'en est en ce
moment roanne sens et c'est sale et
semoy équité sur les photos la space 2
bon ça c'est après c'est tout à fait
conventionnelle c'est sur notre scène
dans les faits roll qui font deux mètres
de haut c'est ça les stimule cette
machine rouge tu vois là tel devant le
tracteur va-t-elle devant le trail temps
ça se déplie comme ça et après ça sera
bas ce 12 mètres de large soit les
hélices qui tombe et ça te coupent toute
la végétation tu le laisses ça fait
comme une rampe de piles huiles sa
bouche comme ça ne sais pas oui oui oui
on l'a sur le relevage avant et ans plus
tard le verra la quitte la lève et
quitte la baisse et tu le peux me la
faire pencher d'un côté ou de l'autre
on peut avancer un peu dedans on va
aller au milieu on va vous allez en voir
plus nous est ici j'ai fais toi il y
avait la prairie d'ailleurs il reste
quelques puits lui donne c'est ce qu'on
voit on en voit de temps en temps j'ai
fait qu'au passé mon déchaumeur à
disques là et j'ai soumis mon tout genre
et voilà le genre de repas en plus ici
il ya une fillette ça fait quand même
une terrible éponge le le reste un peu
de chicorée de la prairie mais c'est
beaucoup quoi se taper ça c'est top de
quelques non pas deux mais enfin c'est
le champ près redescend jusqu'en bas là
mais c'est impressionnant quand tu te
dis ça c'est top
ça c'est top paris va ça eh ben oui
parce qu'il ya la prairie séville après
rien mais quand à la prairie comme ça si
on en voit encore une aptitude pour ça
que c est justement on pourrait même là
dedans on peut passer la roto i tree on
peut penser ce qu'on veut mais c'est
beau de voir où on voit la prairie
toualy encore mais ça c'est top
jamais rien passé et le pire c'est qu'il
ralliera les maillons du soja et donc
c'est pas des chiens exceptionnel
pourtant j'ai ajouté
mais ces bonnes expériences gémonies

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